Fauchage tardif et prairies fleuries. Pourquoi… et pour qui ?

Pour protéger la biodiversité à l’échelle du territoire, habitat 76 s’est engagé, en complément de l’installation de ruches pour les abeilles, de nichoirs pour oiseaux et d’abris pour hérissons, à adopter la technique du fauchage tardif

Ainsi, en 2021, sur 24 résidences de la Pointe de Caux, près de 70 000 m² de parcelles ont été choisis pour passer à 2 fauchages par an au lieu de 6. Les résultats sont déjà là puisque sans compter les quelque 2500 litres de carburant qui sont restés à la pompe et les 1200 heures de bruit supprimées, des papillons ont été aperçus à nouveau, ce qui n’est pas sans donner le sourire aux enfants… et aux plus grands !
Qui plus est, l’adoption de cette technique est bénéfique également pour les charges locatives. 

BOLBEC – Fontaine Martel

Des prairies ont également été cultivées dans la résidence Le Stade à Tôtes. 1000 m² de fleurs embellissent aujourd’hui les lieux et vont désormais se renouveler naturellement chaque année, pour le bien à la fois des locataires et de la biodiversité. 
D’autres résidences à Saint-Etienne-Du-Rouvray, Le Havre ou encore Elbeuf-sur-Seine verront le concept investir l’espace très prochainement. 

TOTES – Le Stade